• Fanfiction Kis my ft2 & Seiya Okayo
     
    Il faisait si chaud, que je n'arrivais plus à respirer. Je déambulais dans les rues de Tôkyô, dans le quartier de Shibuya. 
    - Ne! Me cria une fille sur le même trottoir que moi.
    Je tournais la tête vers elle pour savoir de quoi il en retournait, quand je percutais quelqu'un de pleins fouet et je chutais sur mes fesses.
    - Aïe.... Gémis-je en me tenant le front avec une main, tout en me relevant en m'aidant de l'autre. Je n'osais même par regarder la personne que j'avais heurtée, je m'inclinais pour m'excuser, avant de continuer mon chemin. Mais je sentis une énorme gifle me brûler la joue. Je me retournais vers la personne et vis que c'était une "groupie". Je soufflais, puis décidais de la confronter pour savoir ce qui lui arrivait.
    - Qu'est ce qu'il y a? Je t'ai marché sur les pieds? Ou bien j'ai écrasé ta pancarte de groupie pathétique? 
    N"ayant pas de réponse, mas voyant clairement la seconde gifle arriver, j'esquivais et partie en soupirant. Je vous jure, les gens de nos jours, on ne sait même plus comment interagir avec eux.
    - Excusez-moi ! S'exclama une voix d'homme, mais je n'y prêtais aucune attention, ça devait être encore un passant mécontent de ce que j'avais dit ou qui voulait encore me proposer d'être garde du corps ou mannequin.... Je continuais donc mon chemin jusqu'à chez moi.
    - Seiya !! S'exclama ma colocataire, devant la grille de notre immeuble.
    - Mari-chan ! M'exclamais-je. 
    - KYAAAAA ! Hurla t-elle horrifiée.
      - Qu'est-ce qu'il y a? Lui demandais-je paniquée.
    Elle s'approcha de moi toute tremblante en pointant mes genoux du doigt.
    - Sang.... Du sang..... Bégaya t'elle. Tu saigne Seiya ! Tu t'es battu ou quoi?
    - Hmm? 
    Je baissais la tête et avisa mes genouxensanglantés, je soupirais et tentais de la rassurer sur la provenance de mes blessures. Elle me prit par la main et m’entraîna vers l'appartement que nous partagions toutes les deux.
    - Tes prothèses n'ont rien eu? Me demanda t-elle.
    - Je t'avoue que je n'y ai pas prêté attention. Je revenais d'une séance chez le médecin pour le concert de demain soir. Lui répondis-je.
    - Enlève ton pantalon, pour que je puisse les examiner. Me dit-elle.
    Je m'installais sur un des fauteuils du salon, retirais mon pantalon et Mari s'agenouilla devant moi pour examiner les deux prothèses qui partaient de mes genoux.
    - Tu as de la chance qu'elles ne soient pas égratignées ou cassées. Me dit-elle après quelques minutes d'examen approfondit.
    Nous soupirâmes en chœur et partîmes dans un fou rire communicatif.
    - Qu'a dit le médecin sinon pour ton concert de demain? Me demanda t-elle après que nous nous fûmes calmées. Tes prothèses tiendront pendant tout le concert?
    Je me r'habillais et me relevais.
    - Je peux faire la chorégraphie du premier quart mais pas le reste. Je pourrais rester debout puis assise vers la fin. Lui répondis-je. Je dois juste me ménager. 
    - Est ce qu'il vient te chercher?
    Je me tournais vers mon amie, l'air interrogateur.
    - De qui tu parles? Itoki? Lui demandais-je. Entre lui et moi c'est fini tu le sais bien.
    - Bah pas lui en tous les cas... Soupira t-elle en me faisant signe de venir la rejoindre près de la fenêtre du salon. Je m'en approchais et regardais par dessus son épaule et vis cette ordure d'Itoki pendu au portail entrain d'épier avec des jumelles le moindre gestes que nous pourrions faire, pour voir si nous sommes à la maison.
    - T'es sûre qu'il t'as bien écouté quand tu lui as dit que tout était fini entre vous? Me redemanda Mari.
    - Mari... Soupirais-je. Tu sais très bien, que je suis extrêmement franche quant à mes sentiments. Mais les gens ne le comprennent jamais donc non il n'a rien voulu entendre, mais non je ne compte pas me laisser marcher sur les pieds crois moi.
    Mari souria et me tapota l'épaule avant d'aller vers la cuisine.
    - Vas te doucher maintenant, je viendrais t'aider pour en sortir si tu veux. Me dit-elle en mettant son tablier de cuisine et en prenant les aliments qu'elle allait cuisiner.
    Je me dirigeais vers ma chambre, quand soudain j'eu un tilt. Mon portable! Je n'ai plus mon portable ! Je me mis à le chercher avec rage, mais rien... Je n'arrivais pas à mettre la main dessus. 
    - Attends, ne me dit pas que..... Me dis-je à moi même.
    Je réfléchis à ce qu'il c'était passé plus tôt. J'ai été interpellée par la groupie, puis j'ai percuté quelqu'un sans faire exprès mais comme je ne voulais pas relever la tête je n'ai pas vu qui s'était, puis je me suis prise une gifle par l'autre attardée mentale et je me suis barrée. AH! A ce moment quand l'homme m'a appelé! Il a du trouver mon portable par terre quand je suis tombée !!!
    - Mari !!!!!! Au secours!! Criais-je.
    Mon amie accourus affolée et me trouva par terre les yeux agrandit et les prothèses détachées.
    - Quoi? Qu'est ce qu'il y a? Tu as mal quelque part? Je t’emmène à l'hôpital? Paniqua t-elle.
    Je lui racontais ce qu'il s'était passé pour la deuxième fois et lui précisa que à ce moment là j'ai perdu mon téléphone.
    - Qu'est ce qu'on va faire? Demandais-je.
    - Tu vas appeler ton portable pour voir qui l'a. Dit-elle.
    J'hochais la tête, paniquée et complètement désemparée. Elle prit son portable, composa mon numéro et l'appela, me le tendit pour que je puisse parler avec la personne qui est en sa possession.
    - Allo? Décrocha une voix qui m'était familière.
    - Allo? Bonsoir, dis-je, je suis la propriétaire de ce téléphone, je l'ai fait tomber quand j'ai percuté quelqu'un.
    - C'est moi que vous avez percuté. Je vous ai appelé mais vous ne vous êtes pas retournée. Me répondit la voix d'homme que je connaissais, mais je n'arrivais pas à remettre de tête sur cette voix.
    - Je suis désolée, j'ai cru que vous alliez me demander si je voulais être mannequin ou garde du corps... Lui répondis-je un peu à la va vite. Il y eu un rire à l'autre bout du téléphone.
    - Comment puis-je vous le rendre? Me demanda t-il.
    - Euh vous voyez là où je vous ai percutée? Vous allez vers la troisième rue à droite et après 5 maisons, vous prenez la rue sur la gauche. Je vis dans un immeuble au 6 de la rue. Normalement , si il y est encore, vous verrez un stalker vous saurez que vous êtes arrivés.
    - Un stalker? S'exclama l'homme à l'autre bout du fil. Vous avez des ennuies? 
    - C'est mon ex-petit ami qui ne veut pas comprendre que c'est fini. Vous inquiétez pas il est inoffensif. Lui répondis-je en soupirant.
    - D'accord, je ne suis pas très loin, je serais là dans 5 minutes. Répondit-il.
    Nous raccrochâmes et Mari me regarda.
    - Alors? Me demanda t-elle intriguée par la conversation.
    - Je connais la voix mais je ne saurais même pas te dire qui s'est. En tout les cas, il arrive dans 5 minutes. Lui expliquais-je.
    - Je soigne tes égratignures et tu te change. Me dit-elle.
    Je m’exécutais et mis un short de façon a ce que mes plaies puissent prendre l'air et guérir. Puis je descendis avec le portable de Mari au cas ou la personne allait me rappeler. Mais une fois en bas, je du me faire violence pour ne pas appeler la police, car Itoki était toujours devant le portail et je ne pouvais sortir. A ce moment là, le portable de Mari sonna.
    - Allo oui? Dis-je ne décrochant.
    - Je vois le stalker devant chez vous. Me dit la voix d'homme.
    - Moi aussi mais j'aimerais sortir sans avoir à appeler la police. Lui répondis-je.
    - Seiya!!!!! Hurla Itoki en m’apercevant sur l'allée.
    - Trop tard je crois. Dis-je au téléphone.
    J'entendis une voiture s'arrêter dans la rue et des portes s'ouvrir et claquer.
    Itoki tourna la tête et blêmi en voyant un colosse en noir sortir de la voiture. Il recula, me permettant de sortir dans la rue. Le téléphone callé contre l'oreille, je n'avais rien pour me défendre. Et il le vit. Itoki fonça sur moi mais se prit un coup de prothèses dans les jambes. Je décrochais une d'elle et l’assomma avec. Il tomba raide par terre et je du sautiller jusqu'au portail pour la raccrocher à ma jambe.
    Je repris le téléphone et dis:
    - Voilà qui est fait.
    - Euh vous allez bien? Me demanda la voix à la fois dans et en dehors du téléphone.
    Je relevais la tête et écarquillais les yeux.
    Ki...Kitayama Hi... mitsu... Voilà pourquoi je reconnaissais la voix.
    Je voulu aller me cacher derrière la porte du portail tellement j'avais honte et peur, mais il me rattrapa et raccrocha.
    - D... désolée que vous ayez assisté à cette scène... Murmurais-je rouge.
    Soudain un cri d'une meute,se dirigea vers nous. Je vis que le reste du groupe était absent mais comme les groupies courraient vert nous, je prit la main du chanteur, et l’entraîna lui et son garde du corps, vers l'intérieur de l'immeuble et les amena jusqu'à l'appartement. Pour qu'ils soient tranquille et en sécurité.
    Mari! Criais-je, prépare le sac, il y a des groupies en bas de la maison! 
    Je venais de pénétrer dans le salon et je marchais vers le séjour pour préparer un costume pour Kitayama pour qu'il puisse sortir sans se faire repérer. Mais quand Mari le vit, elle laissa tomber le sac par terre et mit ses deux mains devant la bouche pour retenir le cri qui lui montait dans la gorge. Je m'approchais d'elle l'ai menaçant et elle comprit qu'elle devait se reprendre.
    - Tiens Seiya, j'ai déjà mis le nécessaire dedans. Me dit-elle en me le tendant.
    Je fonçais dans ma chambre, chercher un costume pour le chanteur. quand je revins, ma tête se mis à tourner et j'eu un vertige. L'excitation me revenait en pleine tête et comme je devais me calmer, l'afflue sanguin était beaucoup trop rapide.
    - Seiya! S'exclama Mari, me voyant zigzaguer et me tenir la tête. Mais Kitayama fut le plus rapide à être à mon côté et me rattrapa. Il me souleva et m'installa dans un fauteuil que lui indiquait Mari.
    - Vous allez bien? Me demanda t-il.
    Je prit plusieurs inspirations pour tenter de me calmer.
    - Je l'ai vu! Il est passé par ici! S'exclama une fille en bas dans la rue.
    - Où est-il passé? Demanda une autre.
    - Il est entré dans se bâtiment, s'exclama une autre.
    - on va attendre qu'il en sorte alors.
    Le silence se fut dans l'appartement et je réussi à me calmer.
    - Vous rester dîner avec nous messieurs? Demanda Mari pour détendre l'atmosphère.
    - Nous ne voulons pas abuser de votre gentillesse, mais nous allons rentrer comme ça vous serez tranquille. Dit le garde du corps du chanteur.
    - Vous m'avez ramené mon téléphone, c'est la moindre des choses pour nous de vous offrir un repas, bien que modeste, en remerciement. Leur dis-je.
    - Et je n'ai pas l'impression, qu'elles vont s'en aller de ci tôt donc si vous voulez prendre un bain, allez-y, nous irons après-vous, je dois l'aider à rentrer et sortir de la baignoire une fois qu'elle enlève ses prothèses. Leur dit Mari.
    Kitayama me dévisagea et je rougit, tentant de cacher mes cicatrices et le début de mes prothèses.
    - C'est très généreux de votre part. Mais, nos affaires de rechanges sont dans la voiture. Expliqua le colosse.
    - Je peux descendre les chercher si vous voulez. Leur dis-je. Elles n'oseront pas foncer sur une handicapée.
    Kitayama tiqua et finalement aquiesca à contre coeur.
    Je me relevais et me dirigeais vers la porte, puis je disparue.
    -Excusez ma maladresse, Mari-san, mais qu'est il arrivé à ses jambes? Demanda Kitayama qui n'osait pas lâcher la porte du regard.
    Mari soupir l'air triste et s'assit avec eux sur des coussins devant la table basse, avant de leur expliquer.
    - C'est arrivé il y a 2 ans. Commença t-elle. Il y avait un enfant qui jouait dans la rue et une voiture lui fonçait dessus. Le chauffard n'avait pas l'envie de s'arrêter et quand Seiya a vu l'enfant, elle  a couru pour le récupérer et le protéger mais le chauffard lui a fauché les jambes.
    Il y eu un silence pesant. J'avais réussi à récuperer les affaires des deux hommes sans me faire piétiner et j'avais même réussi à ne pas me faire voir des groupies. Mais en revenant, j'avais entendu la conversation au sujet de mon accident.
    - Mari...
    -Seiya! S'exclama mon amie. Tu as pu passer?
    - Oui, tenez. Dis-je en tendant les sacs aux deux hommes. La salle de bain est juste là, prenez votre temps. Leur montrais-je avec la main. Je passerais en dernière, vu que je prends plus de temps que vous. En attendant, Mari, je vais préparer mon sac pour demain.
    Puis je m’éclipsais  dans ma chambre pour préparer mes affaires pour le concert de demain. A ce moment là, Mari entra dans ma chambre l'air penaude et s'agenouilla près de moi.
    - Je suis désolée Seiya. Je n'aurais pas du leur en parler. S'excusa t'elle. Mais comme il n’arrêtait pas de fixer la porte, je lui devais bien une réponse.
    - Tu aurais pu aussi lui dire que ce n'était pas ses affaires et de ne pas répondre. Lui renvoyais-je en pleine figure avant de lâcher un soupir et de prendre mon amie dans les bras. Je sais que tu as passé de dur moments depuis mon accident. Excuse moi Mari.
    - Non ce n'est rien comparé à ce que tu as du traverser. Je suis fière d'avoir une amie comme toi. Me dit-elle en larmes.
    Je lui caressais la tête et elle m'aida à finir mon sac puis je l'aidais avec la cuisine. Quand les deux hommes revinrent dans des vêtements de sport, douchés et propres, Mari proposa de se doucher avec moi, pour que nous prenions moins de temps.
    - Nous pouvons surveiller la cuisson si vous voulez. Proposa Kitayama.
    - C'est gentil, mais il n'y a qu'à remuer le temps que nous nous douchions et nous pourrons mettre la table. Lui répondit Mari en me poussant vers la salle de bain. 
    - Que penses tu de ça? Me demanda Mari.
    - Quoi donc? 
    - Kitayama Hiromitsu chez nous ! S'exclama t-elle. Qui plus est, c'est lui qui a récupéré ton portable et que tu as percuté.
    - Ne remue pas le couteau dans la plaie, j'ai encore honte de ça...
    Pendant 20 minutes, nous parlâmes et nous douchâmes puis une fois sortie, elle m'aida à m'habiller et à mettre mes prothèses de nuit et à m'installer dans mon fauteuil roulant. Puis elle me poussa une fois que nous fûmes habillées, vers le salon et je me déplaçais vers la cuisine pour prendre la vaisselle pour mettre la table. Kitayama n'osa pas bouger puis quand mon fauteuil se coinça dans la porte de la cuisine, il se précipita pour me venir en aide. Je le remerciais bien que ça m'irritait plus qu'autre chose, mais je ne voulais pas paraître impoli envers un invité et me couvrir plus de honte que je ne l'étais déjà.
    - Merci. Murmurais-je entre les dents, tout en affichant un mi sourir.
    Il tilta et se retint de me pousser ou de prendre la vaisselle de mes mains. Il  me laissa faire et proposa son aide à Mari pour apporter les plats au salon.
    - Vous avez besoin d'aide Mari-san? Demanda t-il.
    - Je vois qu'elle vous a chassé. Dit Mari en souriant penaude. Elle n'aime pas qu'on la prenne en pitié. Ne lui en veuillez pas, mais elle est très têtu et refuse qu'on la prenne pour quelqu'un de faible.
    - Ce n'était pas mon intention. Dit-il. Mais j'avoue que je respect ce choix. Elle a un caractère fort, je trouve ça très courageux de sa part.
    - Ah j'y pense! S'exclama Mari sur le ton de la confidence. Seiya donne un concert demain soir et j'ai un talon d'invitations, donc venez avec vos amis. Je serais avec elle dans les coulisses pour m'occuper de ses jambes et il y aura des médecins, mais si vous voulez venir, vous serez les bienvenues. Ah par contre, déguisez vous comme ça vous n'aurez pas de problèmes avec les groupies.
    Kitayama l'écouta attentivement et tourna la tête pour me fixer, pendant que je parlais avec son gardien. Je riais aux éclats à ses blagues et il riait à mes âneries.
    - Je viendrais avec plaisir. Nous sommes censés être en congés demain justement, j'en parlerais aux autres demain en partant. Lui répondit-il en souriant chaleureusement.
    Puis il aida Mari avec les plats et nous pûmes passer à table et manger dans une bonne ambiance décontractée. Nous parlâmes de tout sauf de mon accident ni du faites qu'il soit une idole japonaise. Nous parlâmes de beaucoup de choses, et nous rimes beaucoup aussi. Je n'avais jamais passé autant de temps à rire en une soirée. Je me sentais beaucoup mieux, voir même carrément sur un petit nuage.
    Après le repas, je du descendre les poubelles, je prit mes béquilles pour descendre mais Kitayama  insista pour m'accompagner en bas.
    - Elles sont encore là. Lui dis-je. Il vaudrait mieux que vous mettiez ceci.
    Je lui mis une casquette et un foulard pour qu'il soit méconnaissable. Je lui lançais un sourir et je partie avec lui vers le local à l'extérieur de l'immeuble. Nous continuâmes à parler de tout et n'importe quoi, que ce soit de nos envies de shopping ou de voyage etc... Une fois arrivé dans le hall d'entrée, je le regardais et nous inspirâmes un coup en chœur avant de pousser la porte et de sortir.
    - Regardez, des gens en sortent!! S'exclamèrent des filles.
    - C'est l'handicapée de tout à l'heure. Cracha une autre avec air hautain. 
    Kitayama m'avait proposé son bras pour que je puisse marcher avec un meilleur appuie, mais à ces mots, je agrippais avec force à son bras. Il baissa la tête et posa son autre main sur la mienne pour m'apaiser.
    - Désolée. Lui dis-je dans un souffle de rage discret.
    - Ne vous inquiétez pas. Je comprends... Me souria t-il. Nous pûmes donc aller et revenir au milieu des groupies, incognito. Mais au moment ou nous retraversions la foule, la jeune femme qui, plus tôt avait été désagréable dans ses propos, me barras la route de son pieds et je me le prit. ma prothèse se décrocha et je chutais.
    - Attention ! Cria Kitayama en me rattrapant. Vous allez bien Seiya-san?
    J'hochais la tête un peu désemparée et je lui montrais ma prothèse. Il me la donna et me souleva dans ses bras comme on porte une jeune mariée ou une princesse, et il me ramena jusqu'à l'appartement. J'avoue que j'étais totalement effrayée. Je agrippais à lui et tremblais si fort, qu'il du s'arrêter dans le couloir pour m'aider à me calmer.
    - Vous allez bien? Me demanda t-il.
    Une fois dans l’ascenseur, j’appuyais sur le bouton du toit.
    - Que... Ce n'est pas là où vous habitez. Hésita t-il.
    - J'ai besoin d'air pour me calmer. Lui répondis-je simplement.
    Il se tu est hocha la tête. En silence, nous atteignîmes le toit et il me posa sur un banc en béton de fortune. Il redescendit, prendre des bouteilles d'eau à l'appartement puis les ramena. J'étais là, sous une brise légère, les bras étendu derrière moi, prenant appuie sur le banc, le visage offert au vent et les yeux fermés. Il se figea en regardant ce tableau puis, s’avança et s'assit à côté de moi.
    - Tenez, ça va vous faire du bien. Me dit-il en me tendant une des deux bouteilles. Je la prit et la déboucha pour la boire. Après avoir bu une gorgé, je fermais la bouteille et la posais sur le banc puis fermais les yeux de façon à apprécier l'instant, et surtout à me calmer.
    - Je suis désolée de ce qu'il vient de ce passer. Dit-il pour briser le silence.
    Je me tournais vers lui et vit qu'il était torturé. Je souriais et posa une main sur son épaule pour lui signifier qu'il n'avait pas à l'être.
    - J'ai l'habitude. Lui répondis-je en souriant. Ne vous inquiétez pas pour moi, je ne suis pas morte donc tout va bien.
    Il me dévisagea et à ce moment là, je commis la pire des fautes. Je me penchais vers lui, je caressais sa joue et l'embrassa sur les lèvres. Aucun de nous n'osa bouger. Puis, Kitayama posa une main sur ma joue et instinctivement, je me reculais.
    - D...Désolée... Je... Je sais pas ce qui m'a prit. Bafouillais-je. Veuillez m'excuser pour ceci.
    Je commençais à me lever, mais je faillis tomber encore une fois. Il me rattrapa et m'embrassa avec ferveur. Je tentais de me débattre, mais sans savoir pourquoi, mes mains ne purent le repousser, mais elles s'agrippèrent à lui. C'est alors que je lui rendit son baiser et lui le miens. Cet échange langoureux dura quelques minutes, puis nous nous séparâmes et nous nous regardâmes.
    - Excusez moi Seiya-san... Me dit-il, mais depuis le moment où je vous ai vu j'en ai eu envie. Vous étiez si forte, si courageuse et belle et malgré tout ce qu'il vous est arrivé, je ne pouvais m'empêcher d'éprouver un profond respect pour vous et une certaine attirance.
    Je restais bouche bée, l'écoutant sans broncher. Le rouge me monta aux joues et je du prendre un profonde inspiration pour ne pas m'évanouir.
    - Vous savez que vous ne pouvez pas faire ça.... Dis-je en tentant de le repousser. Vous êtes une célébrité et une idole qui plus est. Je n'ai pas le droit de vous gâcher votre carrière pour une amourette qui ne durera pas.
    Mais Kitayama ne l'entendit pas de cette oreille et m'embrassa à nouveau avec fougue cette fois. Puis il posa son front contre le miens. Nos souffles se mélangèrent, je pouvais entendre le son des battements de son coeur répondre au miens dans un rythme effréné.
    - Que vais-je faire si tu m'écarte Seiya? Demanda t-il soudainement. Je crois bien que je ne peux pas me passer de toi.
    - Hiromi.... Murmurais-je, ne dis pas ça s'il te plait, ça rendra les choses que plus difficiles pour nous.
    Il prit ma taille dans ses bras et me colla à lui.
    - C'est pas déjà le cas? Demanda t-il en souriant.
    J'éclatais de rire soudainement et il me rejoignit avant que nous nous embrassâmes à nouveau. Plus nous nous embrassions, plus il me serrait contre lui, comme pour nous mêler l'un à l'autre et pour ne plus pouvoir nous séparer.
    - Qu'est ce qu'on va faire alors? Lui demandais-je. Je sais que Mari t'as parlé du concert de demain soir mais après ça?
    - Après ça, on s'arrangera pour se voir même si je dois me cacher de mes supérieurs de la JE. Dit-il en souriant et en caressant ma joue. Mais je ne veux pas qu'on me sépare de toi.
    - Ça a été rapide Kitayama san. Dis-je en le taquinant. Comment faites vous pour tomber aussi rapidement amoureux de quelqu'un ?
    Il m'embrassa et je me mit à gémir sans le faire exprès. Il me regarda avec envie et affection. Une affection qui me submergea tel un tsunami d'émotions et d'amour.
    - Certes ça a été rapide, mais c'est surtout que tu es celle que je veux comme compagne. Je ne veux pas qu'on me dise que ce soit rapide ou impossible. Mon coeur me ferait trop souffrir si c'était le cas. Seiya, je...
    Un bruis de porte se fit entendre, le couple du se séparer et quand ils se retournèrent, Mari et le garde du corps sortirent. Visiblement ils nous avaient découvert et nous ne pouvions plus passer inaperçu à leurs yeux.
    - Je le savais.... S'exclama Mari en souriant jusqu'aux oreilles et en me sautant dans les bras.
    - He? Tu savais quoi? Lui demandais-je intriguée.
    Kitayama et moi nous nous regardâmes atterré et un fou rire général nous prit. 
    Quand nous décidâmes de rentrer, nous entendîmes des bruits dans les escaliers et des exclamations familière.
    - Je suis sur qu'il est là!  Cria une fille.
    - Seiya! Hurla un homme parmi le groupe.
    Mari et moi soupirâmes.
    - Tiens ce n'est pas ton amoureux transit. Me dit-elle aussi désespérée que moi.
    - Ce n'est pas le stalker dont tu m'as parlé au téléphone un peu plus tôt? Demanda Hiromitsu.
    - Oui c'est lui. Dis-je avec un air blasé. 
    Les pas se rapprochèrent et nous dûmes nous cacher derrière un murs pour ne pas être repéré.
    - On nous a pourtant dit qu'ils étaient monté sur le toit. S'exclama une fille.
    - Je suis sur qu'ils se cachent derrière un des murs. Il faut fouiller! Cria Itoki.
    - Et merde... Murmura Mari.
    J'eu une idée. Je prit la main de Mari et celle d'Hiromitsu tout en faisant signe à son garde du corps de me suivre. Doucement mais rapidement, à pas de loup, nous nous dirigeâmes vers l'autre porte sans nous faire repérer par la bande de dégénérés. Nous réussîmes à la passer et à courir jusqu'à l'appartement. Coup de chance, personne dans le couloir de chez nous, nous rentrâmes aussi vite que possible et sans faire de bruit pour ne pas les alarmer.
    - Fiou .... C'était moins une. Dit Mari en essayant de récupérer sa respiration.
    - Malgré votre handicap, Seiya-san, vous courrez plutôt vite. Me complimenta le garde du corps.
    - J'ai tout gardé de mon ancienne vu de sprinteuse olympique. Lui répondis-je en souriant. Un thé ça vous dit? Je crois qu'on en a tous mérité.
    Je me dirigeais vers la cuisine quand le téléphone fixe sonna. J'allais pour décrocher, mais la personne laissa un message.
    " Vous êtes bien sur le répondeur de Seiya et Mari-chan, nous ne sommes pas la pour le moment, alors laissez nos votre message ne!!.... Bip.... Seiya c'est Hajimeri, ton manager. C'est pour te dire que nous avons un problème. Le clan des Ikise a réservé la salle, du coup nous ne pouvons pas faire ton concert. Je te donnerais les informations demain dans la matinée. Mais pour l'instant, reste chez toi et prépare toi, je vais essayer de te trouver une salle.... Bip"
    Je serrais les poings et frappais le mur.
    - Merde! M'exclamais-je. Il manquait plus que ça.
    -Qui est le clan Ikise? demanda Hiromitsu.
    - La famille de Yakuza à qui on m'a fiancé il y a de ça des années avant mon accident. Il fallait qu'ils reviennent et me collent des bâtons dans les roues encore une fois.... Répondis-je en serrant les dents, puis tristement, je me tournais vers Hiromitsu. Voilà pourquoi je t'ai dis que l'on ne pouvait pas être ensemble. Je n'ai aucune envie qu'ils s'en prennent à toi ni aux autres et que tu sois blessé ou retrouvé mort par ma faute. Cette nuit vous resterez dormir ici, demain matin vous partirez et tu ne me recontacteras pas, ni tenteras de me voir. Je m'efforcerais de faire pareil.
    Mais Hiro' se leva brusquement pour me prendre dans ses bras et me secouer pour voir mon visage. Il se stoppa net. Il les avait vu... Il avait vu mes larmes et le regard que j'ai dans ce genre de situation. C'était la deuxième fois qu'on m'en empêchais. Mais cette fois-ci, je ferais en sorte de le protéger. Je ne veux pas que lui meurt par ma faute. Je ne le veux pas.... Et ça n'arrivera jamais.... C'est une promesse mental que je me fit.
    Il allait rétorquer quelque chose, mais s'avisa en croisant le regard de Mari. Il se retint donc de dire quoi que ce soit et me lâcha. Mais il posa son front dans le creux de mon épaule, les bras le long du corps et ne bougea pas.
    - C'est de la torture tu le sais? Me dit-il. Je sentais les vibrations de souffrance dans sa voix, bien qu'il essayait de les camoufler, je les perçus très clairement.
    Je le prit dans mes bras et hochais la tête.
    - Seiya, va te coucher, je vais me charger de leur futons. Me dit Mari qui voulu me permettre un peu de calme.
    Hiromitsu me porta soudainement. M'exclamais-je jusqu'à ma chambre choquée, je n'osais pas bouger. Mais une fois la porte fermée et déposée dans mon lit, il tomba à genou.
    - Hiromi ! M'exclamais-je en tombant de mon lit pour le prendre dans mes bras.
    - Ce n'est pas juste Seiya. Pourquoi tu ne me laisse pas rester avec toi? Gémit-il. Pourquoi tu dois être celle qui prends tout sur ses épaules? Pourquoi est ce que tu dois tout endurer et ne pas me laisser t'épauler? Pourquoi....
    Je le fit taire en l'embrassant. Ses yeux étaient grand ouverts sous le choc du baiser, je lui avait entouré le cou de mes bras et il se laissa faire. Ses yeux se fermèrent et il enlaça ma taille et me colla à lui. Ce fut un baiser de naufragé qui cherche désespérément sa bouée. Un baiser d'urgence comme de détresse. Un baiser qui voulait tout dire mais à la fois était trop pressé pour le dire clairement. Nos haleines se mélangèrent et sa langue vint taquiner mon palait et défia la mienne dans un combat acharné. Je ne pu retenir mes gémissements mais cette fois, je ne m'écartais pas. Il m'attira encore plus près et caressa mon dos, mes hanches, les miennes se perdirent dans l'exploration de ses cheveux et de sa nuque. Hors d'haleine, nous nous écartâmes de quelques centimètres, mais l'envie de l'embrasser fut la plus forte et je recommençais. Il m'allongea sur le sol, et embrassa mon cou, mes clavicules, le dessus de ma poitrine, puis se redressa sur ses coudes pour poser son front sur ma poitrine.
    - Ne Seiya.... Demanda t-il, pourquoi est ce que tu veux à tout prix m'éloigner de toi? Qu'est ce qui t'effraie tant?
    - Et toi Hiromi, lui dis-je, pourquoi n'es tu pas effrayé?
    Il s'assit à côté de moi, le dos calé contre le rebord de mon lit, une jambe pliée et l'autre allongée. Je me redressais, pour me pelotonner contre lui. Il entoura mes épaules de son bras et je soupirais.
    - Avant mon accident, je sortais avec un garçon. Commençais-je, je le sentis se crisper un peu, nous étions jeunes, mais nous nous aimions de tout coeur. Le clan Ikise était des collaborateurs de mes parents. Et quand mon beau père fit faillite, ils ne leur laissait pas le choix que d'unir le clan à ma famille. Mais comme je ne voulais rien avoir à faire avec des Yakuza, et que j'aimais mon petit ami de l'époque, je prit la décision de m'enfuir avec lui. Mais le clan ne l'entendit pas de la même oreille. Ils ont donc menacé ma famille pour que je me montre et étant pas une lâche, je voulais protéger tous le monde. Ma famille autant que Lui....
    Je du ravaler mes larmes pour continuer mon histoire, mais au fur et à mesure que je me dévoilais, je le sentais se crisper et me serrer un peu plus fort.
    - que c'est il passé après? Me demanda t-il.
    - Ils ont tué mon petit ami devant mes yeux au moment où je sauvais cet enfant de la voiture qui m'a fauché les jambes. Lui répondis-je. 
    - Seiya... Souffla t-il avant de me serrer contre lui fermement et tremblant en même temps.
    - Je ne veux pas revivre ça. Lui dis-je en restant contre lui. Je ne veux pas qu'on m'arrache encore une fois quelque chose qui m'est cher.
     
    Une larme commença à couler sur ma joue. Je l'essuyais vivement, mais elle fut soudainement suivi par une autre, puis une autre et à la fin, je ne pouvais plus les retenir et elles coulèrent toutes seules. Hiromitsu me tint contre lui encore plus fort pour me communiquer sa force et me consoler. Il embrassa le sommet de ma tête et me tint encore contre lui un moment.
    - Je ne les laisserais pas te faire du mal. Dit-il avec détermination. Je te protégerais de ma vie si il le faut, mais je ne veux plus qu'il t'arrive quoi que ce soit.
    Je me redressais et le fixais avec détresse et amour.
    - Non. Lui dis-je. Non je ne veux pas que tu face ça. Je ne veux pas qu'on m'arrache à toi et encore moins qu'on ne t'arrache quoi que ce soit. 
    Je posais ma main sur sa joue et la lui caressa. Je voulais imprimer dans ma mémoire et dans mes doigts, le visage et les expressions de cet homme que j'aimais. Je voulais tout graver en moi pour ne plus rien oublier et être sur de l'avoir encore dans mon coeur. Je l'embrassais à nouveau, avec une douceur infini, pour m’imprégner de la forme de ses lèvres fines et douces. Il m'entoura les épaules et me colla contre sa bouche pour l'approfondir et me marquer encore plus de tout ce qu'il était.
     

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  • Fanfiction Pretty Little Liars Couples:
    By Seiya Stories.
     
    C'est un jour comme un autre à Ravenswood. Une ville où tous les faux-semblant sont permit mais où l'apparence compte le plus. 4 amies encore en terminal, se battaient bec et ongles pour comprendre pourquoi la 5eme les menait en bateau et pourquoi le dénomé A n'arrêtait pas de les harceler. Qu'avaient-elles bien pu faire pour merriter un tel traitement, surtout si leur amie commune était celle qui avait des choses à se repprocher. Ayant trainée dans la boue ses "amies" de longue date, les ayant humiliées, détruites, dépossédées, A continuait lui aussi à les maltraiter alors que sa cible principal étit la 5 eme. Mais dans ce pelle-mèle de questions et de larmes, les 4 amies trouvèrent néanmoins le bonheur à leurs façons. L'une d'elle ayant fait son coming out, avait trouvé en une enemie de la 5 e, son âme soeur après le décès de son ancienne petite amie. Son nom est Emily Fields. Grande, athlétique à la fois forte et sensible, elle est celle qui procure la force à ses amies de continuer et de rester lier. Une autre a trouvé sa moitié en un professeur de lycée et écrivain, ce qu'elle ne pourrait trouver nulpart ailleurs sur cette terre. Petite mais tenace, écrivain et littéraire dans l'âme et dans les doigts, elle est celle qui voit le bien partout et qui est persuadée qu'un jour les autres verront comme elle. Son nom est Aria Montgomery. Une autre a trouvé dans un rebel bad boy et aventurier, l'homme de sa vie. Blonde et plutôt sophistiquée, elle aime le shopping par dessus tout. C'est celle qui s'embrouille le plus mais qui est passionnée quand quelque chose lui tient à coeur. Son nom est Hana Marin. La dernière a trouvé en le demi-frère de leur victime et enemie commune, sa moitié. Elle est très intelligente, trop peut être. Elle aime la compétition et c'est parfois ce qui la perd. Son nom est Spencer Hastings.
    Ces 4 amies, au départ liées par une autre fille du nom de Alisson Dilorentis, sont devenues plus fortes et plus unies que jamais grâce aux évènements et tourments qui leurs est arrivés durant c'est 3 dernières années. Mais ce qui nous interesse, pour l'instant, n'est pas leur combat contre A ou Alisson, mais leur combat contre elles-mêmes et leurs sentiments ainsi que leurs mensonges. Aujourd'hui nous allons découvrir ce que sont ces filles pleines de secrets et qui ne rêvent que d'une chose: retrouver la normalité dans leurs vies.
    -Spencer! Cria Mme Hastings du bas de l'escalier. Dépêche toi ou tu vas ratter la cérémonie de ton père!
    - C'est pas comme si c'était vraiment un truc auquel je voudrais à tout prix assisster, grommela la jeune femme en descendant les escaliers pour rejoindre sa mère et sa soeur à rez-de-chaussée.
    - Spencer! La gronda sa mère, c'est important pour ton père et il voulait que vous y soyez toutes les deux présentes.
    Spencer souria sarcastiquement à sa mère et sa grande soeur avant de prendre son manteau et son sac à main.
    - Et puis tes amies y seront aussi, nous avons tenue à avoir tous le monde avec nous pour cette soirée. Déclara Mme Hastings en ouvrant la porte pour en sortir.
    Cette déclaration tranquilisa un peu Spencer qui avait peur de passer encore une soirée barbante loin de ses amies et de son petit ami Toby Cavannaugh. A l'idée d'une soirée tranquil chez ce dernier, fit sourir espièglement la jeune femme et elle se sentit d'humeur joyeuse rien qu'à l'imaginer. Un dîner  rien que tous les deux devant un film, à s'embrasser à en perdre haleine.
    -... Spencer tu m'écoute? L'interpela sa mère.
    La jeune femme sursauta, suprise dans sa rêverie, elle perdit son joli sourire et sa mauvise humeur revint peindre son visage.
    - De quoi, désolée j'étais ailleurs... Avoua celle-ci.
    - Avec Toby ou avec tes amies? Demanda sèchement et avec un sourir mauvais, sa soeur Mélissa Hastings.
    - Peu importe, coupa Mme Hastings, pour éviter une énième dispute ou concours d'insultes entre les deux soeurs. Les garçons seront là aussi, mais je voudrais que tu rencontre le fils du procureur Spencer, il te plaira j'en suis sûr.
    La jeune femme tiqua et regarda sa mère part le rétroviseur interne de la voiture d'un air interrogteur, sentant que quelque chose de mauvais se tramait dans son dos.
    - Qu'est ce que tu sous entends? Demanda t-elle pas vraiment certaine de vouloir la réponse. J'ai déjà Toby mam, au cas ou tu l'aurais oublié. Et même si ça ne va pas avec l'étique Hastigns, je m'en fiche pas mal! Je n'irais pas à cette soirée si c'est pour me prendre en traitre dans un mariage arrangé
    La mère de Spencer la regarda à peine, ce qui voulait bien dire ce dont la jeune femme avait peur. La jeune femme prit donc son téléphone et envoya un S.O.S à ses amies et à son petit ami. 
    Quand elles arrivèrent à l'hôtel où se déroulait la soirée, Spencer s'empressa de se diriger à l'intérieur pour y retrouver le petit groupe que ses amies et elle formaient avec leurs compagnons et compagne respectives.
    - Spencer! S'exclama Toby en la voyant arriver en larmes. Elle se jeta littéralement dans ses bras et il la serra tellement fort qu'il failli la casser en deux.
    - Spencer qu'est-ce qu'il se passe? Lui demanda Aria inquiète.
    La jeune femme se calma en étant serrée par le jeune homme et leur expliqua la situation. Pile au moment ou elle eut fini, ses parents et trois autres personnes s'approchèrent d'eux.
    - Voici ma fille, Spencer! Dit Monsieur Hastings d'une voix assez forte pour que le couple se retourne.
    - Bonsoir Mademoiselle, dit une dame habillée toute en Chanel avec une odeur noséabonde de N°5 vaporisé à grandes doses. Voici mon fils Shaun Clarkinson.
    - Bonsoir Madame, dit chacune des personnes du petit groupe sans pour autant les acceuillir chaleureusement.
    - Alors c'est donc vous le ... charpentier? Demanda Mme Clarkinson en s'adressant à Toby d'une façon si aigre que Spencer du se retenir de lui sauter à la gorge. Le compagnon d'Hana, posa une main sur l'épaule de son ami qui lui aussi tiqua sur le ton donné et serra le poing pour ne pas l'envoyer dans la figure de la procureur.
    - Oui c'est bien moi. Bonsoir Madame, répondit-il de façon posée et calme, comme si la colère un peu plus tôt ressentit, n'existait plus.
    - Bien nous vous laissons faire plus amples connaissances, nous reviendrons dans quelques instants! Déclara soudainement le mari de cette dernière en prenant le bras de sa femme et lui indiquant un couple qui venait d'entrer dans le sallon de la réception. Les parents de Spencer n'eurent pas le courage de regarder leur fille et partirent avec le couple.
    -Je suis vraiment désolé pour ma mère. S'excusa Shaun en s'adressant au couple. Surtout que, sans offence, vous n'êtes pas mon genre.
    Spencer et les autres filles le regrdèrent en haussant un sourcil.
    - Et c'est quoi votre type? Demanda Hana de but en blanc.
    - Hana! S'exclamèrent les filles.
    - Bah quoi? Je demande c'est tout. Se justifia cette dernière en baissant la tête.
    - T'inquiète pas Han', la rassura son copain, je t'aime quand même.
    Il souria et l'embrassa sur le front pour la conssoler. Les autres du groupe sourièrent tendrement puis une voix famillière et forte désagréable retentit dans la grande salle. Tous tournèrent la tête, sauf notre petit groupe d'amis.
    - Par pitié, ne me dites pas que c'est celle à qui je pense.... Murmura Spencer, les dents serrées.
    Toby l'enlaça et la colla à lui si fort, qu'elle faillit se mordre la langue. Elle s'aggripa néanmoins à lui pour ne pas criser.
    - Mais n'est-ce pas notre charmant groupe de menteurs et menteuses? S'exclama la voix qui s'approchait inéxorablement d'eux.
    - J'ai bien peur que si Spence... Murmura à son tour Aria qui tenait fermement la main de son compagnon. Ils durent malheureusement se retourner pour voir...
    -...Alisson.... Lachèrent-ils tous en choeur.
    Un choeur du desespoir, celui qui entame les chants de mort, les chants les plus sombre que vous connaissiez et ceux dont vous ne voudriez même pas entendre la moindre note. La jeune femme, blonde, resplendissante, habillée dans une robe blanche éclatante aux teintes dorées, portant un diadème sur le sommet de sa coiffure en chignon tressé.
    - Je vois que vous êtes tous réunis. S'exclama t-elle. Vous allez encore programmer une attaque ou je ne sais quel plan foireux et malsain?
    - La seule personne capable d'une telle chose c'est plutôt toi Ali. Lâcha Emily, qui jusque là était restée muete.
    Le ton amère dans lequel sorti cette phrase laissa un frisson glaciale, traverser Alisson mais elle garda la face et afficha un sourir qui avait perdu de sa saveur, tant bien elle l'affichait à tout bout de champs sans vraiment savoir ce qu'il fallait mettre comme sentiment en l'arborant sur son visage.
    - Si tu ne veux pas de scandale Ali, je te conseil de ne pas rester près de nous ou tu pourrais réellement finir dans cette tombe qu'une autre occupe pour l'instant. Dit sombrement Aria.
    Son compagnon lui tint la taille et lui carressa la main qu'elle serrait de toutes ses forces pour ne pas craquer.
    - Wouaw Aria... Dit Alisson d'un air faussement détaché, je ne te savais pas si meurtière... Ah mais attends voir... Je me rappel que si enfait, tu as bien l'âme meurtrière.
    Aria, blessée par cette attaque sournoise, se rapprocha encore plus de son amoureux pour y trouver le réconfort et ne pas pleurer. Elle voulait rester forte pour affronter leur ancienne amie de toujours. Son compagnon, la trouva très courageuse et l'admira pour ça. Son amour pour elle n'avait de cesse d'augmenter chaque jour tant elle arrivait à le surprendre.
    - Je ne penses pas que tu puisses lui lancer ce genre d'attaque là Ali, car si je me rappel bien tu en as tuée toi aussi. Ricana Spencer qui prit la défence de son amie pour en mettre une en pleine face de l'autre.
    Touchée par les paroles de cette dernière, la jeune femme partie en trombes dans la direction opposée à la leur, en y mettant le plus d'espace possible.
    - Merci Spence... Murmura Aria sur le point de craquer. Les deux amies se prirent dans les bras, les deux autres ne furent pas en reste et virent les serrer dans leurs bras elles aussi. 
    - Elle ne perd rien pour attendre. Dit le compagnon d'Hana aux autres.
    - Bientôt on pourra lui rendre la monnaie de sa pièce et les filles pourront enfin souffler. Continua celui d'Aria.
    Les garçons devisèrent pendant que les filles murmurèrent leurs pensées les unes aux autres jusqu'à ce qu'un raclement de gorge les firent sursauter et tourner la tête vers le fils de la procureur qui n'avait pas bronché ni perdu une miette de ces échanges.
    - Oh vous êtes encore là? S'étonna Hana d'une manière peu élégante.
    Mais Shaun ne tiqua pas et lui souria même grandement.
    - Est-ce que je peux savoir ce qu'il se passe ici? Leur demanda t-il. Les filles et les garçons se toisèrent du regard pour s'accorder sur ce qu'ils devront dire.
    - Oh si c'est secret ne vous inquiétez pas pour moi je ne dirais rien. Je ne veux pas vous attirer des problèmes. Dit-il d'un ton amical.
    - Ce n'est pas vraiment secret, mais on ne sait pas si on peut te faire confiance. Dit simplement La compagne d'Emily.
    - Oh je vois... Répondit ce dernier sans se démonter d'un pouce. Dans ce cas je vais vous faire une confidence qui pourra peut être vous mettre sur la voie.
    Les huit amis se fixèrent et attendirent que Shaun leur donne matière à réfléchir sur son implication dans l'affaire qui les occupent depuis 3 ans maintenant. Le jeune homme les dirigea vers un coin où des canapés étaient disposés, autour d'une table basse en bois massif et laqué. Tous s'asseillièrent et attendirent attentivement que Shaun se dévoile.
    - Je suis un cousin de Mona Vails. Lacha t-il d'un coup. Et je sais ce qu'elle a fait, à vous et à votre entourage ainsi que ce que Alisson lui a fait et vice versa.
    Un silence de plomb entoura le petit groupe. Chacun d'eux se regardèrent atérés et le dévisagèrent comme si c'était un alien qui venait de mars et qui leur préchait la bonne parole.
    - Et tu crois qu'avec ça on va pouvoir te faire confiance? Déclara le compagnon d'Hana  scéptique.

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  • Si ma vie était....
     
    "Si ma vie était..." On sait tous dit cette phrase en pensant que ça résoudrait tous nos problèmes. "Si ma vie était" moins morne, peut être que j'aurais des ami(e)s, "si ma vie était" moins moche peut être qu'on me remarquerait, etc... Mais soyons honnetes, pour qui  cette phrase a t-elle fonctionnée? Personne, mais on creuse encore l'idée qu'un jour ça ce face. Mais je ne m'y accrocherais pas trop si j'étais vous. Car voyez-vous chers ami(e)s lecteurs et lectrices, je me suis déjà posée la question... Tout les jours... Mais elle n'a jamais aidée à changer ce que ma vie est actuellement. Pensez-vous, qu'une seule phrase puisse régler tous les problèmes du monde? C'est un vieux cliché sortie d'un vieux film de magie pour gamins en couches-culottes qui bavent encore sur la moquette ou dans leurs berceaux. Mais je me suis demandé si elle pouvait réellement fonctionner dans une vie où la magie des gamins baveux, existait. Y a de quoi rire vous me direz... Imaginez un peu les problèmes que cette phrase pourrait apporter en plus d'en régler certains. Tout le monde voudrait une vie en diamants mais les diamants sont durs et ne sont pas tendre au touché, mais froids, voir même glaciale.... Les gens deviendraient comme les diamant, durs, froids et rigides les uns envers les autres. Je vois assez de ces gens là dans cette vie,  je ne veux pas en revoir dans une autre vie même si elle a de la magie. Enfait rien que d'y penser je me demande à quoi on pourrait bien ressembler dans une vie comme celle-ci?.... Vous posez pas la question mes ami(e)s, on connait tous la réponse. Et l'imagination, même débordante dont tout le monde fait preuve, ne nous rendra pas justice pour autant. Mais bon "si ma vie était..." est une bonne phrase pour rêver de ce que l'on ne peut obtenir. Regardez la vérité en face mes ami(e)s, on rêve tous de quelque chose que l'on ne peut avoir uniquement en rêvant. Rêvant très fort.... Je rêve aussi de ce que serait ma vie sans tout ce merdier. Mpf, excusez mon langage malpolie, mais c'est à peu près à ça que ressemble ma vie depuis 24 ans et visiblement elle n'est pas prète de changer. Savez-vous que même en y travaillant très dure, personne ne vous donnera de médaille pour vous récompenser de votre dure labeur? C'est horrible ça, on travail d'arrache pieds pour vivre nos vies paisiblement mais personne n'est là pour nous féliciter et nous récompenser. Non, il n'y a jamais personne pour remarquer ce que l'on fait. Mais ils seront toujours là pour vous descendre, parce qu'il y a et aura toujours quelque chose à redire sur votre travail, votre comportement ou tenue vestimentaire. Sur votre nouvelle coupe parce que, bien qu'elle vous aille à merveille personne n'aime ce qui vous va. Ou si vous venez de finir 1 an de régime et que vous avez enfin attends la taille et le poids que vous desespériez tant atteindre, on vous critiquera dessus. Et même si vous en faites un mais que vous êtes toujours ronde (et pas forcement des rondeurs gracieuses) on vous critiquera jusqu'à vous blesser et à mal vous regarder, vous sentirez les insultes pleuvoirs sans même les entendre ouvertements. "Si ma vie était...." que cette phrase est ingrate. Bien sûre que tous le monde voudrait que ça vie soit comme ceci ou cela, mais croyez-vous vraiment que ce le dire changera quelque chose? Quand bien même vous y travaillez fort, on finira par vous piétiner. Que vous réussissiez ou que vous échouiez, de toutes les façons, rien ne pourrait être comme on le voulait. Croyez-vous qu'un jour cette phrase pourrait vous sauver de cette vie dont vous ne voulez pas? J'en suis pas vraiment convaincue... Pour moi, cette phrase est la plus grosse connerie que le monde aie pu inventé pour se voiler la face. On ne vit pas dans un conte de fée mes ami(e)s, mais dans la réalité. Et elle est parfois, voir même souvent dégueulasse. Il y en a à qui elle sourit, mais à d'autres à qui elle fait un doigts et vous laisse dans votre misère toute faite pour que vous preniez bien conscience, que la vie vous Emmerde profondement. Mais sachez une chose, "si ma vie était..." n'est qu'une phrase et si on veut avoir cette vie dont on rêve tant, on se doit de travailler dur pour l'avoir, ou du moins essayer de l'avoir.
     
    "Si ma vie était..."... A quoi bon se poser cette question si notre vie actuelle est une vie déjà bien rempli? Pourquoi est-ce qu'on se dit ce genre de phrase? Pour se donner une contenance? Pour se dire que on pourrait avoir mieux, même si notre vie actuelle est faites de la direction que prennent nos choix et nos actes. Que fesons-nous si notre vie nous plait mais que nous nous posons quand même cette phrase? Est-ce qu'elle deviendra dorée? Argentée? Multicolore ou bien fluorescente? Je ne penses pas que en se disant "Si ma vie était..." notre vie changera. Si on me demande mon avis, je ne saurais pas quoi vous répondre exactement, mais, je pourrais vous dire que ceux qui disent cette phrase sont aussi perdues que ceux qui ne se la pose pas...
     
    "Si ma vie était...", avez-vous déjà pensé qu'il était possible de ne plus pouvoir la changer cette vie? Que quoi que vous fassiez, elle sera toujours aussi terne qu'elle ne l'est actuellement?

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  • Chapitre 1
     
     
    Le vent glaciale  soufflait contre les vitres de la limousine qui filait, sur la route, à vive allure. Quelques flocons s'écrasaient sur le par-brise de la voiture qui se stoppa violament à un feu rouge. Une vieille femme traverça lentement le passage pieton quand le conducteur klaxonna. La vieille dame sursauta en laissant tomber ses sacs de courses. Tout leurs contenues s'éparpillèrent sur la route.
    - Mais tu vas te dépécher d'avancer mamie? S'exclama le conducteur. Désolée Mademoiselle Sheilan.... Mademoiselle? Ma...
    La jeune femme assise au fond de la voiture, habillée toute en noir, venait de sortir et se dirigeait vers la vieille femme paniquée et qui tremblait de peur en essayant de rattraper ses victuailles éparpillées. La jeune femme se tint droite devant elle, sombre. La vieille dame prit peur, mais la demoiselle s'agenouilla pour aider la femme à remplir ses sacs en rattrapant ses légumes et fruits qui roulaient sur la route. Quand tout fut remis dans les sacs, la jeune femme proposa à la vieille dame de la ramener chez elle. La dame en restait bouche bé, tout comme le conducteur, et accepta sans resister face à tant de gentillesse.
    - Je ne vous ferasi aucun mal rassurez-vous, je veux juste racheter la conduite déplacée de mon chauffeur. Expliqua la jeune femme en souriant penaude.
    La vieille dame s'agita en lui répétant que ce n'était pas grave, qu'elle ne devrait pas faire cela, mais le chauffeur venait de mettre les sac dans le coffre de la limousine et de tenir la porte pour aider la vieille dame à monter dans la voiture avant sa maitresse dont il attendait les remontrances. Elle se contenta juste de le fixer d'un regard noir puis monta dans la voiture à la suite de la dame et alla s'assoire sur une banquette enface d'elle. La vieille dame tritura les manches de son manteau usagé, avec nervosité. La jeune femme souria avec tendresse et entama une discussion polie avec cette dernière pour détendre l'atmosphère.
    - Où doit-on vous déposer Madame? Demanda t-elle gentillement pour ne pas brusquer la pauvre dame qui était au bord de la crise de nerfs tellement elle ne savait pas où se mettre.
    - Je.... J'habite vers le rond point nord près de l'épicerie de Minami... Sursauta t-elle.
    La jeune femme toqua à la vitre de séparation et indiqua la direction à prendre au chauffeur qui hocha la tête avant de refermer la vitre.
    La vieille dame tenta de remercier la jeune femme en bégayant. La jeune maitresse lui prit la main et lui souria chaleureusement pour la détendre et lui signifier qu'elle était heureuse de pouvoir l'aider.Les deux femmes commencèrent à converser pendant le trajet qui menait jusqu'à chez la vieille femme, qui reprenait des couleurs et était un peu plus calme.
    - Il faut que je prévienne ma fille que je rentre sinon elle sera aussi paniquée que moi, et je ne veux pas vous causer plus de problèmes que je vous en ai déjà fait.
    La jeune femme éclata d'un rire cristalin et souria chaleureusement à la femme assise enface d'elle.
    - Vous ne m'avez causé aucun problèmes, bien au contraire. Lui dit-elle en lui prétant son propre téléphone. Allez-y vous pouvez l'utiliser pour appeler votre fille, je vous en pris utilisez le.
    La femme prit honteusement le téléphone de la jeune femme en la remerciant sans cesse et en s'excusant encore plus. Elle composa le numéro de sa maison et décrocha. Elle attendit quelques secondes avant que sa fille ne décroche et qu'elle lui crit dessus quand sa mère lui eut raconté toute l'histoire. La jeune femme lui fit signe de lui passer le téléphone pour qu'elle puisse calmer sa fille et lui expliquer la situation de façon à ne pas causer de tort à la pauvre femme décontenancée en face d'elle. Elle lui tendit le combiné et la jeune femme répondit au téléphone.
    - Bonsoir, je me prénomme Sheilan Kurotsuki. Dit-elle d'une voix qui demandait à ne pas l'interrompre. Je suis l'héritière du groupe internnational économique et boursier Kurotsuki & co. Ma voiture à failli renverser votre mère malencontreusement. Elle n'a rien rassurez-vous, je lui ai proposé de la ramener dans ma voiture car j'ai une soirée dont votre habitation était sur le chemin. Je vais donc vous la déposer et venir m'excuser en personne pour le mal que nous avons failli vous causer à vous et surtout à votre maman.
    Il y avait un silence qui refletait le malaise que ressentait la fille de la vieille dame assise enface d'elle qui recommençait à triturer son pauvre manteau.
    - Je tiens également à me racheter pour certains des produits que votre mère à acheté et que nous avons malheureusement rendu imangeable ou inutilisable.  Expliqua t-elle calmement. Nous serons là dans quelqes minutes. Dit-elle avant de raccrocher le combiner. 
    - Je suis sincèrement désolée de vous causer autant de problèmes. Repetta la vieille femme, ce qui fit rire la jeune femme qui croisa une nouvelle fois ses longues jambes enveloppées dans un collant noir opaque.
    - Rassurez-vous Madame, ce n'est pas vous qui êtes en tord dans l'histoire, mais moi avec mon chauffeur. Nous n'avions pas à vous presser ainsi surtout que le feu était au rouge encore. La rassura pour la énième fois la jeune femme qui gardait un calme olypien et un sourire chaleureux qui ne perdait rien.
    - Je vous ai quand même retardée pour votre soirée Mademoiselle, comment puis-je me racheter pour m'excuser? Demanda t-elle totalement desespérée.
    - En arrêtant de vous excuser et en admettant que c'était moi qui était en tord et non vous. Lui répondit gentillement la jeune femme.
    La vieille dame n'arrivait pas à se pardonner alors qu'elle savait pertinement que c'était bel et bein le chauffeur qui était en tord, mais mieux vallait ne pas ennerver la jeune maitresse, surtout que c'était une héritière très riche et très influente. Elle possèdait un pouvoir qui pouvait tout lui offrir, ce que la vieille dame avait déjà comprit, mais ce qu'elle n'arrivait pas à comprendre c'était: pourquoi une jeune héritière pleine aux as, se donne la peine d'aider une roturière comme elle en lui récupérant ses courses et en la raccompagnant dans sa voiture et surtout pourquoi était-elle aussi gentille avec elle? Tout cela elle ne le comprenait pas masi ne voulant pas froisser son hôtesse, elle préféra se taire et le garder pour elle. Elle ne pu s'empêcher de continuer d'admirer la jeune femme. Autant pour son comportement que par sa tenue vestimentaire qui lui allait à ravir.
    La voiture s'arrêta après un tournant et le chauffeur en descendit. Il ouvrit la porte pour permettre aux deux femmes d'en sortir, la vieille femme sortie la première et vit sa fille sur le trottoire bouche bée et les yeux grand ouverts. Mais ce fut quand la jeune femme descendit, qu'elle faillit tomber.
    - Veuillez nous excuser pour les desagréments que nous vous avons causées, s'exclama la fille de la vieille dame. Je ne sais pas comment vous remercier d'avoir raccompagné ma mère jusqu'à chez nous.
    La jeune femme détailla du regard la femme en face d'elle et se dit qu'elle devait au moins leur donner un peu de quoi s'habiller.
    "Mais si tu fais ça Shei', il faudra que tu habille le monde entier" Lui murmura une voix rauque dans sa tête.
    "Ta gueule Shadow" Répondit-elle avec agacement.
    - Ne vous excusez pas. Rétorqua Sheilan dont l'agacement noirciçait un peut plus ses beaux yeux marrons, ce qui les rendaient assez terrifiant.

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  • Faut-il vraiment que les gens soient si aveugles que ça pour ne pas voir qu'on les lâchent au fur et mesur que leurs actions aillent à l'encontre du droit chemin? Faut-il vraiment qu'on les lâchent pour qu'ils le comprennent? Faut-il vraiment qu'on leur hurlent dessus pour qu'il le comprennent ou faut-il qu'on les menacen? Sincérment je ne comprends plus rien au monde qui m'entourre...Je suis une amie si piêtre que ça pour abandonner l'un des miens parce qu'il devient ce genre de personne avec de soeuillères? Suis-je si mauvaise que ça pour gueuler sur cette personne là et me faire critiquer par les autres ensuite? Suis-je vraiment si mauvaise au point d'encourager les gens à le lâcher parce que même eux viennent me voir pour me dire qu'ils perdent confiances en lui et qu'ils perdent leur propre motivation pour continuer à le suivre ? Suis-je vraiment si mauvaise que de vouloir enlever ses foutuent oeuillères pour qu'il regarde enfin autour de lui tout ce qu'il peurds avec ses conneries? Suis-je à ce point la plus mauvaise des amie à vouloir le mettre au pieds du mur pour qu'il se rende compte de toute les conneries qu'il fait et qu'il s'isole lui même des autres?? A quel point suis-je mauvaise pour que je devienne une personne comme ça? Et lui n'es-il pas aussi mauvais que moi?N'est-il pas celui qu'on devrait engueuler et critiquer plutôt que moi? Ne devrait on pas lui crier toutes ses conneries pour qu'il regarde enfin le monde de ses propre yeux ? Faut-il vraiment que l'on en arrive à se faire detester de ses propres ami(e)s pour qu'ils voient tout ceux/ce qu'ils ont perdu à trop  jouer les cons? Comment peut-on être de si mauvais ami(e)s et les laisser faire du mal aux aures et à eux  mêmes?? qjqe ne me reconnais plus dans son amie mais je me reconnais dans son ennemie et je me ferais une joie de refaire pleurer son coeur et son si il faut pour qu'il revienne à la réalité... Si cettte personne à perdue toute sa dignité alors c'est à moi, son ennemie,  de l'aider à la retrouver et à relever la tête et à retrouver le chemin de la réalité... Mais même si c'est peine perdueje m'accroche au fait que cet am àbesoin d'aide et surtout d'un grand coup pour que l'air lui vide le crâne afin de le remplacer par de l'air pur....


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